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Le 1er congrès International sur:

Le Développement Durable pour une Meilleure Qualité de Vie

26-27 Juin 2024 (Hybride), Université de Tlemcen, Algérie

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     Le laboratoire « Management des Hommes et des Organisations» (LARMHO), organise en collaboration avec la "Faculté des Sciences Economiques, Commerciales et des Sciences de Gestion", "l'Institut panafricain des sciences de l'eau et de l'énergie, y compris le changement climatique (PAUWES)" et le "Centre des Etudes Andalouses", la 1ère édition du congrès international sur le développement durable et la qualité de vie intitulée: « Développement Durable pour une meilleure Qualité de Vie » le 26-27 juin 2024 au niveau du Centre des Etudes Andalouses (Tlemcen).

     Ce congrès transdisciplinaire ouvre la voie à des chercheurs de tous les horizons et rassemblera des académiciens, des experts, des professionnels du développement durable et de la qualité de vie, des décideurs politiques ainsi que des représentants d'organisations locales et internationales pour allier réflexion et action, afin d’identifier des pistes d'action pour favoriser une meilleure intégration des principes du développement durable dans l’amélioration de la qualité de vie, et de valoriser les pratiques innovantes, créer des partenariats nouveaux et réfléchir à des stratégies visant une plus grande reconnaissance et une concrétisation du lien entre le Développement Durable et la Qualité de vie.

      Le développement durable en tant que concept, est des plus répandus, mais  les enjeux  autour de sa définition et sa mesurabilité suscitent encore beaucoup de discussions.

      La définition la plus fréquemment utilisée du développement durable reste celle du Rapport Brundtland, publié en 1987, même s’il n'existait pas encore de consensus sur les moyens de réaliser pleinement  développement pérenne et sur les indicateurs pouvant l'évaluer.

     Cependant, l'internationalisation de ce concept a été à l’origine de la création d'un ensemble d’indicateurs pour mesurer le niveau de progrès atteint par un État. Mais, la grande divergence qui existe entre les résultats des différents indicateurs peut parfois laisser perplexes les chercheurs quant à l'utilité même du concept de développement durable.

     A l’issue du « Sommet de la Terre » qui s'est tenu à Rio, en 1992, fut adoptée la Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement et de l'Agenda 21 : Le premier document insiste dur le fait que "Les êtres humains sont au centre des préoccupations relatives au développement durable et ont droit à une vie saine et productive en harmonie avec la nature" et que "Pour parvenir à un développement durable, la protection de l'environnement doit faire partie intégrante du processus de développement et ne peut être considéré isolément".

     Pour cela, la Qualité de Vie est omniprésente à toutes les échelles et dans toutes les organisations et sous plusieurs vocables. Elle est de plus en plus présente dans les démarches et les discours liés au développement durable. Elle est apparue d’abord dans les réflexions des économistes (notamment des Prix Nobel) depuis les années 1970 pour rechercher des indicateurs alternatifs au PIB afin de mesurer autrement la richesse, et plus globalement, la prospérité. Depuis peu, elle s’est imposée avec force dans les rapports annuels de responsabilité sociétale des entreprises dont elle reflète les performances sociales.

     La qualité de vie est un sujet phare de recherche technologique, d’enseignement et de nouvelles formations. Par ailleurs, Qualité de Vie et développement durable sont versatiles selon les organisations ou les territoires qui en font usage, et ils sont tous deux l’objet d’un dialogue intense avec les parties prenantes pour comprendre et distinguer les facteurs de bien de ceux du mal-être.

     La qualité de vie c’est aussi la promotion de la santé pour tous avec une meilleure prise en charge. En effet, une bonne qualité de vie n’est pas uniquement une aspiration individuelle et les villes également s’efforcent d’apporter une qualité de vie aussi bonne que possible à leurs habitants. En plus de facteurs économiques classiques et législatifs, la qualité de vie peut largement contribuer à l’attractivité territoriale, même si les défis ne manquent pas, tant sur le plan socio-démographique (croissance galopante de la population, flux migratoires croissants, diversité culturelle en hausse et changements des us et coutumes de plus en plus rapides) qu’en matière d’écologie (paysage sous pression, surexploitation des ressources, pollutions en tous genres, etc.)

     Ainsi, l’amélioration de la qualité de vie des individus est une preuve forte de la valeur ajoutée des démarches de développement durable. Face à ce constat, l’objectif de ce congrès est de dresser un état des lieux, lancer une réflexion et proposer des pratiques de développement durable censées garantir une meilleure qualité de vie et les valoriser par le biais de recommandations et de plans d’actions pour les décideurs au sommet de l’état et au profit des institutions locales et nationales, qu’elles soient publiques ou privées.

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